Le minerai diamantifère récupéré est tout abord concassé (pas trop fin pour ne pas broyer les diamants) et tamisé afin de séparer le sable des éléments plus gros. Puis l’on procède au lavage qui élimine les boues et une partie du minerai. Ensuite vient l’opération de concentration et d'enrichissement en diamants (on peut utiliser pour cela des malaxeurs rotatifs, des agitateurs, des jigs, des cyclones, des séparateurs à liqueurs denses), qui permet de séparer les cristaux de diamant du minerai grâce à leur différence de densité. La récupération finale du diamant va se faire sur des courroies enduites d’une graisse épaisse dans laquelle le diamant sera le seul à adhérer. Enfin, le diamant brut est récupéré en faisant fondre la graisse des tapis.

Le tirage des diamants bruts

Chaque diamant extrait d’un gisement ne peut être utilisé pour la joaillerie (uniquement le diamant « gemme » 15 à 20 % de la production). Certain diamant, de moins bonne qualité, serviront dans l’industrie (40% de la production) ou même pour la taille d’autres diamants, le crushing-bort est ainsi la plus mauvaise qualité de diamant et sera réduit en poudre (45% de la production).
Le certificat du diamant

Lors d’un achat d’un vrai diamant, avoir un certificat est essentiel. Cela permet de prouver que le diamant est vendu légalement et il est considéré comme l’acte de propriété.

L’importance de l’entretien du diamant

Afin que le diamant puisse garder son éclat ainsi que sa beauté pendant des années, il faut bien l’entretenir. Il faut aussi bien le conserver.

Vérifier l’authenticité du diamant

Le poinçon permet de reconnaître si le diamant est un vrai. Considéré également comme le numéro de série de la pierre, il est posé sur le rondiste. Il est visible par tout le monde.